Quand notre cher Président s’exprime sur sa mélancolie …
« Il y a sans doute une bonne solitude, celle de la réflexion, celle qui offre le silence, la sérénité, la liberté. Mais il y a la solitude qui oppresse, celle qui naît de la privation de l’écoute, du soutien du regard de l’autre, celle qui fait oublier le sentiment d’aimer et d’être aimé. »